Photo 895058Madame Jeannine DION-GUÉRIN
Jeannine, je suis si heureuse de t’avoir rencontrée !
Tes mots resteront, tes mots et ta voix, ils font tellement de bien.
Merci. Merci à toi pour cette poésie, pour ces pensées, Merci à toi pour tes sourires et tes rires.
Et merci à la Vie d’avoir fait croiser nos chemins.
Photo 895058Madame Jeannine DION-GUÉRIN
Merci Jeannine pour ces quelques moments privilégiés, trop rares, où nous avons mêlé tes mots inspirés avec mes notes improvisées au piano.
Je vais les regretter tout autant que tes embrassades chaleureuses.
Marc
Photo 884805Monsieur William DURAND
Une vie à plein régime

Will était un motard "un vrai" pas un de wish ou d'aliexpress. Qu'il pleuve, qu'il vente ou en hiver, on pouvait s'attendre à le voir débarquer sur le parking de l'usine au guidon de sa machine. Son style était reconnaissable. Si les Harley Davidson sont les percherons de la route, lui et son pure sang hornet évoquaient la chevalerie. Le duo empreint de légèreté et de vélocité, s’était épris des belles courbes de bitume, là où les émotions se mesurent en tours minute.

Son regard espiègle trahissait le personnage. Je me rappelle très bien mon 1er fou rire avec William, de son anecdote au sujet d’un certain kevin, qui travaillait pour une société sous-traitante, dans la valorisation des déchets et dont le passetemps préféré était le tir à l'arc. Par référence au robin des bois de kevin costner, will l’avait rebaptisé kevin cont’nairs.

Un personnage passionnant, un touche à tout, toujours à bricoler à la maison, informatique, domotique, électronique. Un digne héritier de Angus MacGyver.

Mais aussi passionné de conception 3d, métier qu'il aurait aimé pratiquer à plein temps, son imagination était bridée par la taille du plateau d'imprimante... Qu'à cela ne tienne, il concevait des assemblages lui permettant d'enlever les chicanes de sa créativité, si bien que dans le domaine, dans l’esprit du Valentino Rossi de la grande époque, il nous survolait dans la discipline, toujours à 10000 tours.

Dans ma mémoire il continuera à décrire les magnifiques courbes qu’il a toujours su tracer, lui et son engin, en quête incessante de liberté, par-delà même l’ultime surrégime.

Dorénavant les vrombissements de mon bicylindre, seront comme un de ces messages indélébiles adressé à ma mémoire.

        Nous te souhaitons apaisé William là où tu es maintenant !
Photo 895130Monsieur Gilles THUILLIER
A mon deuxième papa que j’aime du plus profond de mon cœur.
Je t’aime à l’infini mon tonton ❤️ à tes frites maison les meilleures qui vont me manquer. Je t’aime.
Photo 894997Madame Gilberta dite Nadège SOREL geboren GALVANI
Que son âme repose en paix.
On bon kimbe raid à ses enfants
Bon courage
Photo 895058Madame Jeannine DION-GUÉRIN
Jeanine, ma Jeanine.

Votre prénom suffisait à faire naître un sourire.
Un seul regard suffisait pour nous comprendre.
Vous aviez cette lumière douce et cette présence apaisante, si précieuses à ceux qui vous entouraient.

Vous aimiez la nature…
Qu’il s’agisse d’une fleur, d’un feuillage ou du passage d’un oiseau, tout avait pour vous une beauté unique.
Les campanules vous tenaient particulièrement à cœur, même si, espiègles, elles refusaient obstinément de pousser sur votre balcon… Ces petites clochettes rebelles que vous regardiez avec tendresse, parce qu’elles vous ressemblaient tant : discrète, élégante, et pleine de grâce.

Poète dans l’âme, vous écriviez avec le cœur.
À travers vos livres, vous avez semé les mots, comme des graines de lumière.

Devant mes décorations, vous aviez ce sourire tendre et cette phrase qui me touche encore :
« Pascale, vous avez des mains en or. »
Ces mots, je les garde précieusement, comme un cadeau qu’on n’ose déballer.

Vous êtes partie comme une fleur qui se ferme, mais votre parfum, lui, est resté.

Jeanine, je ne vous oublierai jamais.

Pascale, votre ange gardienne.
Photo 895360Docteur Alain THOMAS
Alain notre ami d’enfance repose en paix.
Que de souvenirs de Tunisie où nous avons été si heureux.
Repose en paix.
Photo 895058Madame Jeannine DION-GUÉRIN
À Jeannine

DIX LEÇONS DE LUMIÈRES

Grande prêtresse des métamorphoses, Jeannine, voici quelques-unes des « Leçons de Lumières » enseignées tout au long de ta vie et bues à tire-larigot à la source de tes poèmes.

Amis lecteurs, comme le Boléro de Ravel, enfoncez-vous bien ça dans la tête, lisez et relisez ses recueils, martelez ses paroles autant de fois que nécessaire, jusqu’à ce qu’elles fassent en vous office de seconde nature.
Reprenez le flambeau en ce jour de Pentecôte pour que le don des langues qui vous échoit rayonne en vous pour toujours.

Leçons de Lumières comme autant de messages décryptés, sortis de la gangue délétère du silence et de l’oubli. Ici finit l’artifice pour laisser place à la vérité du poète, authenticité rimant avec lucidité, à l’aube du grand partir vers un ailleurs inconnu.

Aimer et essaimer, telle est la première Leçon de Lumière qui a nom l’Amour Universel. Du plus petit des vers de terre à l’étoile, de la pâquerette au baobab, tu prônes la parfaite égalité, les mêmes droits d’exister au-delà des différences.

Écrire est la deuxième Leçon de Lumière. Prose ou poésie, qu’importe, vers libres ou rimés qu’importe, contraintes oulipiennes ou non, vers longs, vers courts, senghoriens ou guilleviciens qu’importe, puisque le Tigre et l’Euphrate se rejoignent à l’estuaire du Chatt-el-Arab.

Leçon transcendantale comme les Études de Franz Liszt, vertigineuses gammes montantes et descendantes. Virtuose, la foi ose soulever les montagnes du doute et de l’hésitation. Affirmation de soi et « Connais-toi toi-même » constituent le Credo de la troisième Leçon de Lumière, clameur polyphonique au firmament de l’âme du poète.

Joyeuse lumière que celle de la quatrième Leçon ! Esquissant un sourire au coin des lèvres et l’amplifiant en rire contagieux, jouant de l’olifant un air de sa façon, plein d’humour et de fantaisie, à qui voudra l’entendre.

Puisqu’au commencement était le Verbe, la cinquième Leçon emprunte toutes les voies de l’Incarnation. Les cinq sens à l’affût, tour du guet bien connue du chasseur de mots, et du corbeau le précurseur, quand la langue mystérieuse des signes, se mue en beauté poétique.

Ainsi soit de l’Éphémère, sixième Leçon de Lumière, melting-pot de curiosité, d’attention, germé d’un sens d’observation aiguisé, de l’éveil qui donnera naissance à tout poème surgi du réel immédiat, de l’instant capté à la seconde, sur le vif, en un flash éblouissant, tel un battement d’ailes de colibri ou de papillon.

Libre le poème, léger, batifolant et primesautier, insouciant, à l’image d’Éros, un putto malicieux comme on en voit sur les plafonds de la peinture italienne, parmi les moelleux coussins de nuages, où percent les rayons de la septième Leçon de Lumière, aux amoureuses fragrances.

La huitième Leçon de Lumière se place sous l’égide de l’incontournable dieu Janus. Qui dit Joie et Bonheur dit aussi son revers, et la lutte pour faire triompher les forces positives en un pari assidu, celui de l’offrande, du OUI. Danse de la vie, tantôt tango argentin, tantôt flamenco ou valse de Vienne, tout en voltes et virevoltes.

La neuvième Leçon de Lumière est celle de la résilience. Elle conduit à la sérénité et à l’acceptation de la souffrance et de la finitude, pour, après une vie bien remplie, entamer la lente montée vers le ciel, l’Espérance à la proue.

Enfin, à l’apogée, la dixième Leçon de Lumière sera dévolue à l’Émerveillement retrouvé et au Renaître, fidèle à la parole christique : « Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole. »
Elle témoignera de ta présence au monde, Jeannine et, pour ne pas nous perdre dans le labyrinthe, ta poésie restera notre fil d’Ariane.

Nathalie Cousin
Dimanche 8 juin 2025
Pour les 92 ans de ma "grande soeur d'âme", Jeannine Dion-Guérin.
Photo 884799Madame Jessica MARCHETTO
La perte d’une jeune femme aussi brillante et pleine de vie que Jessica, est une douleur immense, et jnous ne pouvons qu’imaginer la peine que vous ressentez en ce moment.

Elle était une personne exceptionnelle, dont la lumière illuminait ceux qui avaient la chance de la connaître. Son départ prématuré laisse un vide immense dans le coeur des gens qui l'aiment, mais aussi un souvenir précieux de sa gentillesse, de son intelligence et de sa passion.

Nous vous souhaitons tout le courage dont vous avez besoin pour traverser cette épreuve difficile. Que l’amour et le soutien de vos proches vous apportent un peu de réconfort dans cette période douloureuse.

Demain nous ne serons pas physiquement avec vous, mais nous y serons par la pensée et par le coeur, de tout coeur.

Avec toute notre sympathie et notre affection,
Photo 895003Monsieur Edmond Franck BERTIN
Edmond
Pourquoi toi, pourquoi maintenant...il y a tant de questions qui reviennent sans cesse. Un collègue, un confident, mais aussi un deuxième papa. Tu savais nous faire rire avec tes blagues, nous élever et propulser vers l avant avec tes conseils, tes expériences de vie, et nous tirer les oreilles quand on faisait n importe quoi...digne d un bon papa...!!! Tu étais devenu le meilleur pote de ma petite poupette avec tous tes fromages qu elle dévorait à chaque fois qu elle te voyait !!! Et cette force intérieure, ce courage, cette combativité, toujours là quoi qu il se passe .. un exemple pour chacun d entre nous qui t avons côtoyé. Sache que nous te garderons toujours dans notre cœur ...Ne t inquiète pas, on veillera sur Béa comme tu as veillé sur elle. On sera là pour les 2 femmes de ta vie sois en bien sur. Je t embrasse MONSIEUR EDMOND....
Toutes mes pensées à Toi ma Béa et à Scarlett.
Stephanie
Photo 895003Monsieur Edmond Franck BERTIN
Un dernier adieu Edmond et je garde avec moi nos discussions sur la vie et ses multiples facettes devant ton étal de fromages. Tu aimais la vie, les échanges, les femmes et tu vibrais d'empathie ...
Photo 895003Monsieur Edmond Franck BERTIN
Edmond,
Vous nous avez quitté si brutalement. Vous ne vous arrêtiez jamais, vous aviez tellement de projets en tête, à réaliser...
Vous aviez tant de savoir, rien ne semblait compliqué pour vous! De la mécanique aux travaux, dans tout les domaines.
Je voulais tout simplent vous dire merci pour tout ce que vous m'avez apporté; vous m'avez tant donné de par votre savoir. Je ne compte pas le nombre d'heures, de jours, et d'années que nous passés ensemble, de jours, comme de nuit, à réaliser ce magnifique projet de Gujan que vous avez pu mener à son terme. Vous pouvez vraiment en être fier!
Nous n'aurons même pas eu l'occasion de fêter la fin des travaux ensemble à Gujan... J'aurai tellement aimer prendre ce petit verre de Whisky avec vous, que vous vous accordiez lors de bonnes occasions, et celle-ci en était une!
        Je vous vois regarder la maison en vous tenant les mains derrière dos, le béret sur la tête !
Depuis que vous nous avez quitté, je vous parle quand je rencontre un problème, j'imagine votre réponse, "Tu te démerde, réfléchis !" Dieu sait que que mon cerveau est en ébullition...
Je continuerai à vous embêter lorsque j'aurai une interrogation dans la réalisation de mes travaux, ça me donne du baume au coeur!
Vous pourrez maintenant me suivre au quotidien et voir comment le projet avance à Soual, je suis certain que vous êtes déjà fier du résultat, même si ce n'est pas encore totalement terminé...
Sachez que je ne vous oublierai jamais, je sais que vous allez veiller de la haut sur Scarlett et Béa; je serai là si elles devaient en avoir besoin, je ne les abandonnerai jamais!
Je serai présent, à vos cotés pour vous dire un dernier aurevoir. Reposez en paix.
Photo 894997Madame Gilberta dite Nadège SOREL geboren GALVANI
J ai fait la connaissance de Nadège il y a un mois et demi à peine bien qu elle soit ma cousine germaine. Elle m a été tout de suite sympathique .
Je regrette de ne pas l avoir connue avant, nous n avons pas eu le temps de nous fréquenter mais je garde le souvenir d une femme agréable, douce.
Toutes mes condoléances a ses enfants et proches de ma part et de la part de Léone, ma soeur
Photo 895058Madame Jeannine DION-GUÉRIN
Un heureux destin a fait croiser nos chemins.
Voici le beau poème que tu nous as laissé en 2015 :

Sauvetage,

Petite graine rescapée
des moissons de fin d’été

Me voici désemparée
dans le désir de germer
à la lisière d’un champ vide

J’observe de cette campagne
l’inattendu dénuement
et me prends à l’envier...

Pourquoi ne puis-je comme elle
accéder à l’indicible mystère
de vie chaude sous la chair ?

Pourquoi ne pas apprendre
à me démunir du superflu ?

pour mieux interroger nue
les énigmes de l’Univers ?

Jeannine Dion Guérin 2015
Photo 884644Monsieur Claude DROUILLY
J'ai eu la chance de connaître Monsieur Drouilly dans mon parcours professionnel en 2024.
Je me souviendrai toujours de son sourire et de sa gentillesse !
Un Monsieur discret qui ne voulait jamais déranger alors même que je recherchais sa présence... Nous avons partagé de merveilleux moments de complicité, de chants, de rires, de musique et de confidences...
Claude Drouilly, un homme tellement agréable qui manquera beaucoup à sa famille et ses amis... Je pense surtout à sa fille et son gendre qui se sont tellement consacrés à lui, qui lui ont apporté soutien, présence et Amour...
Reposez en paix cher Monsieur Drouilly..en écrivant ses lignes j'entends encore votre rire...
Photo 895096Madame Nathalie MULLER
Que Dieu te protège, ma sœur. Tu es en paix. Tu as rejoint papa, maman et notre frère. Tu resteras toujours dans mon cœur. Que ton repos soit doux comme tu l'as été. Je t'aime. Une pensée à mes nièces et mon neveu, et à tes petits-enfants, ta sœur Sandrine, ton beau-frère Thierry, tes 3 nièces Laetitia, Noémie, Manon et ton neveu Alexis. Je ne t'oublierai jamais. que ton repos éternelle que les anges vielle sur toi....
Photo 884805Monsieur William DURAND
Aujourd’hui, le silence s’est installé dans l’atelier. Dans nos cœurs, le souvenir de William résonne encore. Avec la douceur d’un sourire, et la couleur d’un rouge éclatant.
Repose en paix.
Photo 895058Madame Jeannine DION-GUÉRIN
Pour Jeannine
C’est, très précisément le 25 février 2006, que j’ai rencontré Jeannine, c’était au Raincy, j’étais assidu aux activités du club de poésie, elle venait y faire, avec une amie, une conférence sur Senghor.
Je me souviens très bien de son aisance à dire, de mémoire, une de ces longues élégies de Senghor. J’en avais été impressionné. Plus tard elle m’expliqua la correspondance qu’elle avait entretenue avec ce poète-président ; plus tard elle me dit son attachement à Guillevic…et à bien d’autres poètes. Plus tard, elle me dit aussi deux ou trois choses d’elle. Mais surtout pendant de nombreuses années, nous avons partagé un attachement commun à la poésie. Je la pratiquais en amateur, elle maitrisait les mots et les images, celles que lui soufflait l’arbre qu’elle voyait de sa fenêtre, tout autant que celles que lui inspirait notre place dans le cosmos. Elle savait écrire la poésie, elle savait la dire…
Pour en revenir à cette première rencontre, il était d’usage, une fois la conférence achevée que les poètes présents disent un texte. J’avais lu celui-ci :

La brume

J’en ai traversé de ces gares
où la brume attend d’embarquer.

La brume ne rêve pas,
elle n’espère rien du soleil.

Certains jours,
le souffle des convois caressant son échine
suffit à son plaisir :
rieuse comme une petite fille
qui sautille sur sa marelle, alors,
elle s’égaye, se disperse,
sans un mot ;
la brume est silencieuse.

D’autres fois, sourde aux effleurements,
elle reste immobile :
vieille dame un peu capricieuse !

J’en ai traversé de ces gares
où la brume attend d’embarquer,
sans savoir,
sans savoir tout à fait,
ce que la vie devient quand on s’éloigne d’elle.

Une fois la conférence achevée, Jeannine proposait les ouvrages qu’elle avait apportés. Elle m’avait dédicacé le Sablier des métamorphoses, avec cette formule : « Ce sablier qui débute par la brume et se termine par le soleil » ; bien sûr, aujourd’hui, le soleil est voilé, mais, par la poésie de Jeannine il continuera de briller, pour ses amis, dont j’ai eu l’honneur d’être, pour sa famille.
Philippe Deniard
Photo 895003Monsieur Edmond Franck BERTIN
Mon bon edmont !!!
Voilà comment je t appelai... aujourd'hui plus que jamais je suis effondré que tu soit parti aussi brutalement, mais soulagé que tu n est pas souffert .
Tu a été pour moi quelqu un d important dans ma vie et tu le restera !!!comme un deuxième père qui a su être la et trouver les mots dans mes passages difficiles suite a mon burn out en cuisine et ou j ai commencer les marchés a tes côtés.
        on se voyait 3 fois par semaines et a chaque fois de grandes rigolades et de grandes discussions sur le futur , d ailleurs c est grâce a toi et Béatrice que je suis a aydius aujourd'hui, tu croyais en moi et tu m'a toujours tiré vers le haut et grâce a toi voilà où j en suis aujourd'hui,épanoui dans ma cuisine et a la tête d une affaire florissante ..tu n auras même pas vu les derniers travaux que nous avons fait ..tu aurai été fier j espère... je te rend hommage car tu avait cette ora sur les marchés de bons vivant, de gentillesse et de plaisirs que tu pouvais transmettre a tous passants et camelots a tes côtés ,aujourd'hui les marchés vont être triste sans toi ....je perd un ami , un confident presque un père pour moi mais je sais que la haut tu rigolera toujours avec ton béret vissé sur ta tête !!!
Mon ami tu va me manquer mais jamais je ne t oublierai !!!
Je serai là jeudi pour te dire aurevoir !!!
Merci edmont d avoir autant fait pour nous !!
Photo 884145Madame Marlène ZARADER
C’est avec beaucoup d’émotion que j’ai appris la triste nouvelle. Ancien étudiant de Marlène Zarader, j’ai beaucoup appris auprès d’elle. Professeure et pédagogue de talent, à la fois exigeante et bienveillante, toujours humble dans la réflexion et la transmission des savoirs, Marlène Zarader a aujourd’hui encore une grande influence dans mon enseignement de la philosophie. Nul doute qu’une trace de Marlène demeure en chaque étudiant qui a eu la chance d’assister à ses cours.
Pour tout ce que vous m’avez transmis, un grand merci, Madame Zarader.
Philippe Roger
Photo 884375Madame Ginette FABRICI geboren DEBAULIEU
Ma chère Tata Ginette, tu vas rejoindre Bruno la-haut, pour l éternité. je garde de vous pleins de beaux souvenirs de mon enfance avec vos passages à la maison le week-end que j attendais avec impatience ace Maman.
vero
Photo 895130Monsieur Gilles THUILLIER
À mon oncle, parti bien trop tôt…

Comme beaucoup, tu es parti trop vite, laissant derrière toi un vide immense. Pourtant, je me souviens de chaque bon moment passé à tes côtés depuis ma naissance. Tu fais partie intégrante de mes premiers souvenirs. C’est même à cause de toi – ou plutôt grâce à toi – que j’ai sorti mes premières phrases cultes à l’école, comme ce fameux “t’es cages à miel”, qui est depuis devenu une vraie expression dans notre famille.

Tu étais l’oncle qui nous a tant apporté quand nous étions petits. Celui chez qui on faisait toutes les bêtises possibles, sans jamais être punis… Parce que tu étais notre Tonton Cloow, celui avec qui on rigolait tout le temps. Et pourtant, paradoxalement, j’ai eu peur de toi pendant des années… avant de comprendre à quel point j’allais t’aimer.

Tes repas n’étaient peut-être pas les plus équilibrés, mais ils étaient faits avec amour — et ils étaient surtout délicieux.

Avec le temps, on grandit, on se voit un peu moins. La vie nous emporte ailleurs : on construit notre propre famille, on poursuit nos projets, nos ambitions… et on a parfois moins de temps à consacrer à ceux qu’on aime. Mais ça ne veut pas dire qu’on les oublie. Bien au contraire.

Je suis certain que, de là où tu es, avec ta gentillesse et ta bienveillance, tu es fier de ce que nous sommes devenus. Tu as contribué à notre évolution, tu as marqué nos vies. Mon humour, je le tiens sûrement un peu de toi.

Je repense à toutes ces vacances ensemble, au camping, à tous ces souvenirs… des souvenirs qui resteront à jamais gravés. J’aurais aimé te dire tout ça de vive voix, mais il n’est jamais trop tard pour exprimer ce qu’on ressent.

Je crois que la vie ne s’arrête pas vraiment ici. Il te reste encore plein de choses à voir, à vivre, là-haut. Sache qu’on t’aime, et qu’on t’aimera toujours.

À mon oncle, parti trop tôt… mais qui, en 64 ans, nous a donné tant. Pour tout cela, je te dis simplement : merci.
Et je ne t’oublierai jamais. je t'aime Cynthia
Photo 895002Madame Josette Yvonne COLIN geboren PIERRON
C'est avec une immense peine que j'ai appris le décès de Josette qui était pour moi une sœur de coeur, ayant passé notre jeunesse ensemble et vécu des moments inoubliables. Elle était pleine d'empathie, toujours prête à rendre service, avec un coeur débordant d'amour pour tous ses bien aimés, je suis encore plus désolée de ne pouvoir être prêt de vous dans ce temps de deuil, mais je suis présente par la pensée et je vous souhaite mes très sincères condoléances attristées. Je vous embrasse de tout mon coeur. Et j'ai une pensée particulière pour Claude. Courage !
Photo 883675Madame Sonia-Carole PILLOT
Ma tata Sonia,
tu resteras toujours ma tata Sonia. Je n'oublierai jamais mon stage de 3eme à tes côtés cher NafNaf et ton sourire, ta gentillesse, ta bienveillance. Et ta lumineuse présence à nos anniversaires à Amiens en 2023.
Tu resteras dans mon coeur pour toujours. Repose en paix.
Ilona
Photo 884145Madame Marlène ZARADER
C'est le cœur serré et avec une immense tristesse que je tenais à exprimer combien j'ai apprécié madame Zarader.
Elle possédait ce supplément d'âme des personnes "supérieures" qui savent se mettre à la portée de ceux qui ne le sont pas. Je garde le souvenir de la douceur de son expression mêlée à une rigueur exemplaire dans ses décisions.
Je souhaite à ceux qui restent de ne pas la pleurer, mais de mesurer la chance qu'ils ont eu de pouvoir la rencontrer.

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