Christelle,
Bien que m'étant éloigné géographiquement, je suis très touché par ta disparition inattendue.
Tu resteras toujours ma collègue, mon pendant à la CRMH de Châlons.
Nos contacts n'étaient pas coupés pour autant, et nous nous croisions lors de concours à Paris. Tu ne manquais quasiment jamais de me souhaiter mes anniversaires et, à chaque fois, je louais ta mémoire des dates.
Aujourd'hui, je me sens particulièrement triste de te faire parvenir cet "au revoir" car je n'ai jamais eu l'impression que nous ne nous côtoyions plus.
Je ne pourrai malheureusement t'accompagner au dernier hommage qui te sera rendu ce mardi.
Toutes mes condoléances à ta famille, amis et collègues du quotidien.
Benoît

Benoît Emonet- 14/10/2019